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21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 20:12

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016 (1/26)

The Mist of Avalon: Mistress of Magic

Le Livre de Poche

410 pages

 

Synopsis

La légende du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde n'avait, depuis longtemps, inspiré un roman d'une telle envergure, d'un pareil souffle. Et, pour la première fois, ce draine épique nous est conté par une femme à travers le destin de ses principales héroïnes. Bien sûr, Merlin l'Enchanteur, Arthur et son invincible épée Excalibur, Lancelot du Lac et ses vaillants compagnons, tous sont présents mais ce sont ici les femmes, exceptionnellement attachantes, qui tiennent les premiers rôles : Viviane, la Dame du Lac, grande prêtresse d'Avalon, Ygerne, duchesse de Cornouailles et mère d'Arthur, son épouse Guenièvre, Morgane la Fée, soeur et amante du grand roi... S'appuyant sur plusieurs années de recherches, cette épopée envoûtante est bien autre chose qu'un roman historique de plus. Elle relate la lutte sans merci de deux mondes inconciliables, celui des Druides et des anciennes croyances défendant désespérément un paradis perdu et celui de la nouvelle religion chrétienne supplantant peu à peu rites et mystères enracinés au coeur de la Grande Bretagne avant qu'elle ne devienne l'Angleterre. Au-delà du rêve et de la réalité, au-delà des passions tumultueuses, où l'amour charnel, loin de toute notion de péché, pouvait s'extérioriser librement, au-delà des intrigues de Cour, des larmes et du sang, voici une nouvelle et fascinante reconstitution de l'un des thèmes romanesques les plus impérissables de toute l'histoire de l'Occident. Eternelle histoire d'amour et de mort, vécue et ressentie intensément par celles sans lesquelles l'exaltante aventure des Chevaliers de la Table Ronde, opposant forces du mal et hommes de bonne volonté, n'aurait jamais existé.

 

Mon avis

Ce livre est encore une de mes relectures. Il y a longtemps, j'étais une personne qui adorait tout ce qui concernait Morgane la Fée et uniquement elle. J'aimais bien aussi tout ce qui concerne la légende d'Arthur mais le personnage qui m'avait toujours fasciné, était Morgane. Je pense que c'est une des raisons qui fait que j'avais entamé cette saga, par contre, je ne me rappelle plus le pourquoi du comment d'avoir arrêter cette saga après deux tomes.

 

C'est peut être bête, mais je n'avais pas remarqué lors de ma première lecture que tout tourne autour des femmes qu'elles soient reine(s), prêtresse(s), etc., bien sûr les hommes ont une place, mais j'ai l'impression qu'elle est moindre par rapport à d'autres romans que j'ai pu lire. Je dois dire que j'apprécie.

 

Ce que j'apprécie également, c'est le style de l'auteure que je trouve relativement fluide, je dois avouer que j'ai trouvé certains passages longs et un peu incompréhensible, ceux-ci étaient plus présents sur la fin qu'au début donc ça ne me gênait pas vraiment car j'ai accroché dès le début. Par contre, j'ai trouvé la fin de ce premier tome quelque peu bizarre comme si il avait été coupé en plein élan.

 

On peut ressentir que l'auteur a voulu recréer un univers qui existait déjà, où elle a essayé de mettre plus en avant les femmes, j'ai pu remarquer que Guenièvre était par moment une vraie folle (à confirmer dans le prochain tome).

 

Malgré ce petit (ou gros, c'est selon) problème, j'ai bien apprécie de me replonger dans l'univers arthurien, bien sûr, je vois arriver certaines choses grosses comme des maisons (mais aussi par le fait que j'ai tellement été plongée dans les différentes versions du mythe qu'il y a des moments qu'on voit venir).

 

Note: 9/10

 

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 09:24

Le Livre de Poche

292 pages

 

Synopsis

Le Roi de fer, premier volume du cycle, a pour figure centrale Philippe IV le Bel, roi d'une beauté légendaire qui régnait sur la France en maître absolu. Tout devait s'incliner, plier ou rompre devant l'autorité royale. Mais l'idée nationale logeait dans la tête de ce prince calme et cruel pour qui la raison d'Etat dominait toutes les autres.
Sous son règne, la France était grande et les Français malheureux.

 

Mon avis

Dernièrement en rangeant des livres, je me suis aperçue que j'avais commencé cette saga sans jamais la finir, je me suis décidée qu'il était temps après l'avoir débuté il y a au moins 10 ans. Mais bien sûr avant de lire les tomes 4 à 7, je pensais qu'il était préférable de commencer par le premier tome lu donc vers 2005/2006 (un peu après la série télévisée avec Jeanne Moreau).

 

Il parait qu'à l'heure actuelle, il est encore lu car certains éditeurs le mettent comme livre ayant inspiré "Game of thrones" de GRR Martin, non pas que je n'y crois pas, mais je trouve ça dommage de qualifier cette saga d'une des "inspirations" pour un autre livre. Bien sûr, on remarque en lisant le premier tome que certains détails pour être largement inspirant pour n'importe qui.

 

En effet, ce roman est largement inspirant aussi pour vouloir en savoir plus sur les rois de France, les Templiers, mais aussi je me rappelle quand je l'ai lu la première fois, j'avais envie d'aller à Avignon visiter le Palais des Papes, lors de cette seconde lecture, j'ai toujours envie d'aller visiter Avignon mais également de revisiter correctement Paris. J'ai aussi très envie de continuer cette saga et bizarrement j'ai aussi envie de revoir la série.

 

Ce roman est magnifique, je trouve que dès les premières pages, je me suis sentie happée par l'histoire (en même temps, je sais qu'avec ce genre de livres, c'est relativement facile pour moi). C'est également une fresque historique qui a été certes romancée mais on peut ressentir que l'auteur s'est également beaucoup documenté pour parfaire son livre.

 

Et pour une fois, j'ai lu les notes historiques car je ne le fais quasiment jamais.

 

Je vais donc continuer avec un énorme sourire la suite de cette saga.

 

Note: 10/10

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22 décembre 2015 2 22 /12 /décembre /2015 08:36

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2015 (26/26)

Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau

Le Livre de Poche

128 pages

 

Synopsis

Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée... Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.

 

Mon avis

Ceci est une relecture, j'avais déjà lu ce roman/nouvelle, il y a de cela dix ans. Je dois dire qu'à cette époque, j'aimais bien lire du classique pour être au même niveau que les personnes de mon entourage et tout le monde tarissait des éloges sur Zweig. Je me suis aventurée à lire ce livre, j'avais été mitigée par la façon d'écrire mais récemment je me suis remise à le lire avec d'autres romans ou plutôt avec des biographies et j'ai été subjuguée par la façon dont l'auteur réussissait à me captiver avec des romans biographiques.

 

C'est donc tout naturellement que j'ai décidé de relire ce livre.

 

Mon avis sur la question n'a toujours pas changé, j'aime cet auteur quand il écrit des biographies car on sent qu'il aime ce qu'il fait mais autant quand il écrit des romans plus "fictifs", j'ai du mal avec son style. Je suis d'accord sur le fait que le personnage principal raconte 24h dans sa vie mais je dois quand même avouer que c'est lourd sans au moins un peu de dialogue, il n'y a peut être que 128 pages mais je trouvais qu'un chapitre était fort long. Après c'est peut être moi qui n'est pas compris où voulait en venir l'auteur et ce sera honte sur moi de ne pas avoir compris la subtilité de l'écrit.

 

Je dois avouer qu'avoir deux narrateurs, n'est pas non plus dans l'idéal car aussi bien l'un est facile dans sa façon de voir, relativement carré que Mrs C. est plus encline à faire des descriptions, à tourner autour du pot. Cependant, l'auteur a aussi de la sensibilité qui n'est pas vraiment pour déplaire.

 

Bien entendu, ce n'est pas parce qu'un roman ne m'a pas vraiment plu et pour lequel j'ai été mitigée, j'arrêterais de le lire, je vais surement retourner dans les méandres de ses biographies jusqu'à ce que je trouve un récit qui me plaise vraiment.

 

Note: 6,5/10

 

 

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15 décembre 2015 2 15 /12 /décembre /2015 08:30

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2015 (25/26)

Pocket

261 pages

 

Synopsis

Turc grandi en Belgique, Evren achève à Cologne de brillantes études de comptabilité. Hébergé chez son oncle, ce garçon de vingt et un ans, encore chaste et au visage ingrat, s'éprend de sa cousine – la belle et sensuelle Derya. Rentré en Belgique, Evren fait part aux siens de sa décision : il va épouser Derya. Une délégation familiale se rend donc en Allemagne pour demander la main de la jeune fille. Mais les choses ne tournent pas exactement comme prévu : Derya éconduit Evren.

Outragés par cette humiliante fin de non-recevoir, les parents d'Evren cherchent un nouveau parti pour leur fils et choisissent Yasemin, une paysanne anatolienne de seize ans, vive et dégourdie, qu'Evren connaît à peine. Les noces ont lieu, et le jeune couple apprend peu à peu à s'apprivoiser. Jusqu'au jour ou Derya – dont Yasemin ignore l'existence – débarque à l'improviste en Belgique.

Quel secret cache le voyage de Derya ? Qui est véritablement Evren, ce grand garçon obéissant et en apparence si maladroit ? À quel jeu dangereux se livre Yasemin ? Quels rôles viennent jouer dans cette histoire René, voisin de la famille d'Evren et croque-mort de son état, et Marcel, son colocataire, attardé mental qui passe ses journées à visionner les enquêtes de l'inspecteur Colombo ?

 

Mon avis

Il y a un peu plus de dix ans, j'ai été obligée de lire un livre d'Armel Job et j'avais détesté (pour la petite histoire, j'ai presque toujours détesté les livres que j'ai dû lire pour l'école). Depuis ce jour, j'ai mis en horreur cet auteur, je ne voulais pas lire de nouveaux livres venant de lui.

 

Puis, une amie a dû lire un livre de l'auteur, autre que le mien et elle avait apprécié, autant dire que pour moi ça paraissait dérisoire puisqu'on a presque les mêmes gouts en littérature. J'ai mordu dans ma chique et j'ai demandé à pouvoir lire son livre.

 

Soit mes gouts ont changé en dix ans (c'est tout à fait possible) soit le livre que j'avais lu pour l'école était terriblement mauvais, mais je dois dire que j'ai bien aimé ce roman.

 

On apprend peut être pas grand chose (ou alors, je savais déjà certaines situations par le fait que j'ai toujours été une personne curieuse) mais ce livre, je peux sentir qu'il a été écrit par un homme car parfois quand il fait parler une femme, il n'est pas très féminin et n'a pas l'habitude (il y a une situation dans le livre qu'il décrit vraiment bien ce problème).

 

J'ai bien aimé, ce genre de mixité, l'auteur n'est pas resté dans les familles turques à 100%, il y a aussi un petit peu de belge, par contre, j'ai eu du mal à me situer géographiquement parlant dans la Belgique (d'accord, on parle des Ardennes mais c'est vaste).

 

Est-ce que je relirais un livre de cet auteur? Peut-être.

 

Note: 8/10

 

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 09:56

Livre lu dans le cadre de la Masse Critique de Babelio

Au Diable Vauvert

 

Synopsis

D'un côté, il y a Wall, paisible village niché au sein d'une calme forêt anglaise. De l'autre, le Pays des Fées, univers d'enchantements, de sorcières, de licornes et de princes sanguinaires. Entre les deux, il y a le mur, l'infranchissable et épaisse muraille qui ceint le hameau et le sépare de Féerie. Infranchissable ? Pas tout à fait, puisque tous les neuf ans s'ouvre la Foire des Fées qui, durant un jour et une nuit, permet aux deux mondes de se rencontrer. Dans certaines circonstances, cependant, attendre si longtemps pour pénétrer en Féerie est impossible. Car quand on s'appelle Tristran Thorn et que l'on a promis à sa belle l'étoile filante tombée du firmament de l'autre côté du Mur, aucun obstacle ne saurait s'élever contre l'amour...

 

Mon avis

Je connaissais vaguement l'histoire car j'ai vu (ou plutôt entr'aperçu) le film au moment où il est passé à la télé. Je dois dire que l'histoire n'est pas vraiment restée ancrée dans ma mémoire. Je ne me souvenais que des acteurs ayant joué dedans (et encore!)

 

J'ai donc été relativement contente de pouvoir me faire (ENFIN) une idée sur l'histoire. Je dois dire que j'ai été agréablement surprise. Malgré quelques longueurs (où je me demandais ce que l'auteur voulait), j'ai bien aimé ce livre.

 

J'ai également pu remarqué que ce roman ne s'adresse pas vraiment à des enfants mais plutôt des adolescents voire même adultes car certains thèmes ne sont pas vraiment très enfantins (même si il me semble que le film était un peu enfantin). On se retrouve un peu comme dans les Narnia, il y a un sens caché à tout.

 

Ce que j'aime dans l'histoire, c'est que les protagonistes ont connaissance de l'un comme de l'autre, même si ils ne peuvent cohabiter qu'une fois tous les 9 ans. Par contre, je suis étonnée qu'il n'y a que des gardes et que malgré tout personne ne passe car d'après les descriptions, ils ne sont pas vraiment des gars hyper baraqués.

 

L'auteur a lui même une écriture relativement fluide, je dois bien reconnaitre, qu'il a eu de bons maitres avant lui et a surement eu l'occasion d'étoffer son univers. J'apprécie également qu'il n'a fait qu'un One Shoot, qu'il n'a pas été pris par les sirènes de faire une trilogie, etc (je me demande ce qu'il aurait pu dire par la suite).

 

Note: 8/10

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6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 15:41

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2015 (24/26)

Sofies Verden

Seuil

557 pages

 

Synopsis

" Qu'est-ce qu'il y a de plus important dans la vie ? Tous les hommes ont évidemment besoin de nourriture. Et aussi d'amour et de tendresse. Mais il y a autre chose dont nous avons tous besoin : c'est de savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons. "

 

Mon avis

Je dois dire que ce livre me faisait de l'oeil mais il me faisait également peur car j'ai déjà eu l'occasion de suivre des cours de philosophie, et ça ne m'avait pas plus.

 

J'ai bien apprécié la première partie quand Alberto parlait des philosophes de l'Antiquité, Moyen Age, etc., j'avais vraiment envie d'en savoir plus mais le roman n'est vraiment qu'un petit cours en accéléré de ce qu'on peut apprendre sur les différents courants qui existent.

Puis, nous avons également l'histoire de Hilde et je me demandais vraiment où l'auteur voulait m'emmener (je crois vraiment que je n'avais pas vu l'histoire venir de cette façon).

 

Ensuite, il y a la seconde partie où l'auteur parle des philosophes plus contemporains, on commence vraiment à me perdre à ce moment là, sans compter que l'histoire de Hilde devenait de plus en plus bizarre.

 

Et après, c'est la 3e partie (et la 4e partie, je vais aller jusque là) où je suis totalement perdue, et c'est vraiment là, que mon imagination n'a plus suivi ni mon envie de lire ce livre.

 

Je pense que si le roman n'avait pas son parallèle avec Hilde, il aurait pu être un très chouette roman ou alors faire autre chose avec cette histoire de Hilde et son père également.

 

Note: 6/10

 

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 19:32

Livre lu dans le cadre d'une Masse Critique organisée par Babelio

Alice Primo

 

Synopsis

Manolo, jeune Espagnol souffrant de surdité, s'intègre parfaitement dans la classe de Victoria. Mais les parents d'élèves demandent son placement dans un centre adapté, de peur qu'il retarde leurs enfants. Pour aider son ami, Victoria propose un atelier aux élèves, leur faisant découvrir le quotidien silencieux de Manolo. Un roman sur le handicap, la tolérance, le rejet et l'ouverture d'esprit.

 

Mon avis

J'ai trouvé cette histoire relativement touchante, magnifique et les dessins bien faits, très clairs et très compréhensifs.

 

L'histoire est assez compréhensive, je l'ai bien aimée car j'ai un peu vécu cela avec une personne que je connaissais et qui est sourde. Je me suis toujours intéressée à leur langue (que j'essaye toujours de comprendre), d'ailleurs dans le livre, on a droit à l'alphabet, ce qui est bien pratique si on veut épeler son prénom. J'aurais aimé un peu plus de signe mais bien sûr, je peux les apprendre un peu partout via le net.

 

Comme c'est une histoire pour les enfants, je me demande si une personne peut être compréhensive car hélas on vit dans un monde où le fait de ne pas être comme tout le commun des mortels est limite une tare.

 

J'ai apprécié le fait qu'on essaye de mettre les enfants dans la peau de Manolo car c'est vraiment comme ça qu'on peut apprendre comment vit une personne avec un tel handicap (je l'ai déjà fait avec divers handicaps et, ici, c'est relativement "handicapant" quand on a toujours vécu en entendant).

 

C'est vraiment une histoire que je recommanderais à mes enfants pour qu'ils comprennent plus facilement la vie d'une autre personne, différente qu'eux et qu'il ne faut pas en avoir peur.

 

Note: 10/10

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 08:32

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2015 (23/26)

You know you love me

Fleuve Noir

284 pages

 

Synopsis

Bienvenue à New York dans l'Upper East Side, où mes amis et moi vivons dans d'immenses et fabuleux appartements, où nous fréquentons les écoles privées les plus sélectes, mais nous avons le physique et la classe, ça compense.
c'est aussi la période où nous devons remplir nos dossiers pour l'université. Nous venons de ce genre de familles et d'écoles, où il n'est même pas envisageable de ne pas postuler aux meilleures universités; s'y voir refuser l'entrée serait la honte absolue. La pression est là, mais je refuse de la subir. C'est notre dernière année au lycée, nous allons faire la fête, faire nos preuves et entrer dans les universités de notre choix. nous sommes uissues des plus prestigieuses famille de la côte Est - je suis certaine que pour nous, ça sera du gâteau, comme toujours.

J'en connais quelques-unes qui ne se laisseront pas abattre...

 

Mon avis

Aussi bien, j'avais un avis relativement mitigé sur le premier tome autant que pour celui-ci, le titre a été relativement inspirant. En effet, j'ai bien aimé ce second tome, je l'ai, disons la vérité, trouvé hyper intéressant et intrigant.

 

J'ai pour la première fois depuis que je lis des romans après avoir vu la série et/ou film complètement oblitéré les personnages que j'avais vu (sauf dans le cas de Blair/Olivia c'est vraiment le seul truc où mon cerveau n'a jamais réussi à lire le prénom d'Olivia mais continuait avec le prénom de Blair, ce qui n'est relativement pas choquant).

 

J'ai un ou deux petits trucs que je n'ai pas apprécié. L'auteur en tant que femme aurait dû ne pas se focaliser sur la poitrine de Jenny, chaque fois qu'on voyait le caractère de Jenny, chaque fois on avait droit à la même sérénade "Jenny et sa poitrine opulente", je pense qu'en parler une ou deux fois ça passe mais toujours remettre sur le tapis, c'est énervant. On a compris qu'elle avait une forte poitrine inutile d'en parler autant de fois.

 

Je trouve également dommage que la plupart des personnages doivent fumer et/ou se droguer et/ou boire, j'aurais aimé au moins un personnage relativement correct (peut-être Jenny mais à voir pour la suite).

 

On sent bien que l'auteur a quand même réussi un pari risqué: parler de la jeunesse dorée de Manhattan qui est aussi pire que son livre (il suffit de regarder les documentaires et les télé réalités pour constater que le livre n'est pas tellement fictif).

 

Quand j'avais fini le premier tome, je m'étais dit que je ne lirais peut être pas la suite mais que je me ferais quand même une idée en lisant le second tome. Je pense avoir changer d'avis et me mettre à lire le 3e tome et peut être toute la série.

 

Note: 8/10

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 08:30

Livre lu dans le cadre d'une Masse Critique organisée par Babelio

Libretto

 

Synopsis

À partir d’une vérité historique longtemps occultée (l’intimité de Napoléon et de son complice en stratégie, le génial Jomini, que les jaloux surnommaient « le devin de l’Empereur »), Lo Duca, tenant d’une main ferme la plume du César corse, propose une autre lecture de l’aventure impériale – plus authentique assurément que celles que l’on a fabriquées à l’usage des foules.

Méfions-nous des apocryphes, surtout s’ils traitent de l’Histoire et des acteurs qui la font : ils peuvent s’offrir le luxe suprême de dire la vérité, toute la vérité – et même un peu plus…

 

Mon avis

Ce livre est peut être un apocryphe mais il est tellement bien écrit, tellement bien étudié qu'on a vraiment l'impression que l'auteur n'est pas Joseph mais Napoléon Bonaparte dans toute sa splendeur. Il n'y a vraiment qu'une grande fantaisie dans cet ouvrage, c'est l'histoire de l'âme coupée en deux, l'une se trouve chez Napoléon et l'autre chez Jomini (par acquis de conscience, j'ai été le googler et je dois dire avouer qu'il a une certaine ressemble physique avec Napoléon et une carrière militaire relativement splendide).

 

L'ouvrage est peut être un faux mais il est parsemé de références à chaque bataille mais également aux phrases qui sont attribuées à cet illustre personnage.

 

Par curiosité et pour voir si l'auteur suivait des faits historiques, j'ai attendu une certaine date en juin 1815 pour que mon chauvinisme soit vraiment à son plus haut point. En effet, si l'auteur a bien suivi les dates, ma petite ville devrait se trouver dans les périples, et je dois avouer qu'elle s'y trouve bien même si ce n'est que quelques lignes.

 

L'auteur ne retrace pas que le journal des batailles mais également des journées passées sur l'ile de Sainte-Hélène où selon lui, Napoléon fut victime d'un empoisonnement (je suis également de cet avis).

 

Le livre se laisse lire, mais il faut vraiment aimer l'histoire de Napoléon, je ne suis pas déçue de ce livre car j'ai vraiment aimé le lire, j'ai aimé ce Napoléon.

 

Note: 9/10

 

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 06:15

Livre lu dans le cadre des challenges ABC 2015 (22/26) et "Un mot, des titres" (Mot: Fleur)

Titre VO: Snow Flower and the Secret Fan

J'ai Lu

377 pages

 

Synopsis

Dans la Chine impériale du XIXe siècle, Fleur de Lis et Fleur de Neige naissant au même instant. Cette coïncidence et sa grande beauté permettent à Fleur de Lis, malgré son extraction modeste, de devenir l'âme-sœur, la laotong, de Fleur de Neige, fille de la haute noblesse. La grande amitié qui lie les jeunes femmes se brise quand Fleur de Lis découvre que son amie l'a trahie...
Une histoire d'amitié et de fascination réciproque qui explore avec lyrisme et émotion l'une des plus mystérieuses relations humaines : l'amitié féminine.

 

Mon avis

Ce que j'aime dans la lecture, c'est ce sentiment d'en apprendre tous les jours sur les différentes cultures, parfois je n'ai pas envie d'en savoir plus et ça me donne juste le sentiment de ne pas mourir idiote mais parfois comme dans ce cas-ci, j'ai envie d'en savoir plus, d'en apprendre plus mais hélas ça n'ira peut être pas plus loin car il y a là dedans plusieurs éléments qui m'intéressent, et certains seront plus faciles à approfondir que d'autres.

 

Commençons par cette histoire d'écriture secrète le nu shu qui n'existe plus car au fil des années et des gouvernements il fut interdit, et les dernières personnes qui le connaissent encore, ne sont plus de ce monde (ou sont très âgées, ou n'en parlent pas pour éviter les problèmes). J'aimerais l'approfondir, découvrir à quoi ressemble l'écriture des femmes.

 

Puis, nous avons ce qui s'appelle le bandage et qui est dorénavant interdit (enfin, c'est ce qu'on dit). Les pieds bandés furent pendant longtemps un grand mythe dans une partie de l'Europe, puis on ne parlait plus que de ça pour parler des femmes chinoises. Je pense que pour cette partie de l'histoire des femmes chinoises, je peux encore trouver des récits biographiques ou non (si les auteurs sont bien documentés, je pense que les histoires peuvent être très intéressantes).

 

Revenons à l'histoire, ici on parle de deux jeunes filles que tout oppose sauf une chose leur jour de naissance (année et heure), elles vont devenir des Laotong, des âmes soeurs pour la vie, des âmes soeurs dans le cadre d'une amitié qui va les suivre aussi bien dans leur bonheur que dans leur malheur. 

 

Ce que j'aime dans cette histoire, c'est que les personnages principaux sont des personnes dites "inutiles" mais on s'aperçoit qu'elles sont plus que cela. C'est des mères, des épouses, des épaules sur laquelle se confier, c'est également des "faiseuses" de fils car sans femmes pas de fils.

 

Aux premiers abords, on pourrait croire que cette histoire est un récit léger mais derrière on retrouve des thèmes relativement forts, des récits qui pourraient être biographiques, des vies qui ne sont pas si inutiles. L'auteur a tellement bien écrit ce livre qu'on a l'impression qu'elle est Fleur de Lis, et même si j'avais peur au début en lisant ce roman (peur d'avoir des maux de têtes car trop de pathos), cette peur est très vite partie.

 

Je pense que ce roman fait partie des romans que je relirais d'ici quelques années car j'avais apprécié son contenu et que l'avis que j'ai de ce roman peut changer avec les années.

 

Note: 10/10

 

 

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