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10 octobre 2016 1 10 /10 /octobre /2016 13:28

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016 (12/26)

Le Livre de Poche

343 pages

 

Synopsis

Simone Veil accepte de se raconter à la première personne. Personnage au destin exceptionnel, elle est la femme politique dont la légitimité est la moins contestée en France et à l'étranger ; son autobiographie est attendue depuis longtemps. Elle s'y montre telle qu'elle est : libre, véhémente, sereine.

 

Mon avis

De Simone Veil, je connaissais qu'une seule chose: la loi Veil, ni plus ni moins, je n'avais aucune idée de ses origines ni ce qu'elle avait fait par la suite. Ce livre a été pour moi une excellente découverte sur un personnage qu'on peut dire historique.

 

En lisant ce livre, j'ai donc appris que Madame Veil est juive et avait été déportée comme bon nombre d'entre eux et qu'elle avait perdu des membres de sa famille. J'ai aussi appris qu'elle a été "présidente de l'Europe" (ce n'est pas le terme exacte, je le sais), qu'elle avait présidé bon nombre de société et d'association. Bien que par la suite, elle soit restée un peu dans l'ombre, à l'heure actuelle tout le monde connait son nom.

 

Ce qui est également bien et aussi un peu pompeux, c'est les discours qui étaient mis en annexe, avec un peu d'imagination, j'avais l'impression de me retrouver dans la même pièce qu'elle.

 

Pour moi cette autobiographie était vraiment simple, bien écrite et surtout sans chichi allant toujours droit au but.

 

Note: 9/10

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22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 15:46

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016 (11/26)

Die for you

Pocket

512 pages

 

Synopsis

Des quartiers huppés de New York au sombre dédale des rues praguoises, un nouveau thriller irrésistible par la reine du suspense psychologique. Et si vous découvriez que l'homme qui partage votre vie n'est pas celui que vous croyez ? Romancière à succès, Isabel file le parfait amour depuis cinq ans avec Marcus Raine, un immigré tchèque à la tête d'une société high-tech florissante. Un soir, Marcus ne rentre pas et le cauchemar commence. Agressée par de faux agents du FBI, interrogée par la police, dépouillée de tous ses biens, Isabel voit son univers s'effondrer lorsqu'elle reçoit un texto de Marcus : " Oublie-moi. Fais comme si j'étais mort. Et surtout ne te retourne pas... " Qui est l'homme qu'elle a épousé ? Quels crimes lui a-t-il cachés ? Et jusqu'où ira-t-il pour l'empêcher de découvrir la vérité ? Au péril de sa vie, Isabel va se lancer dans une traque acharnée, sur les traces de celui qui a fait de son existence un mensonge...

 

Mon avis

Ceci est le 2e roman de cet auteur que j'ai lu, il est plus un thriller psychologique qu'un vrai policier, même si je ne le trouve pas fort thriller. Il m'a également fait penser au téléfilm de l'après-midi ou une version très bof du livre de Gillian Flynn "Les Apparences", le côté tête à claques et peste en moins. 

 

Mais ici point de femme qui décide de se venger, non, juste un homme qui disparait du jour au lendemain sans savoir pourquoi et sans laisser de traces (enfin ... presque). L'histoire aurait pu rester comme ça, parler du pourquoi et du comment, de laisser la police faire, mais la femme bafouée est une auteure et cette disparition lui réveille sa curiosité. Toutefois l'auteure ne reste pas entre l'histoire du couple et la police, d'autres personnes se retrouvent dans l'histoire, notamment la famille de sa soeur.

 

Est-ce que j'ai aimé ce roman? Bof ... pas vraiment, je l'ai trouvé long. J'ai préféré le premier roman que j'avais lu, je serais tentée par un autre roman de l'auteure, mais j'hésite, c'est un style que je commence seulement à connaitre.

 

Note: 6/10

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25 août 2016 4 25 /08 /août /2016 10:30

Plon

395 pages

Synopsis

En plein Paris, Zaher, un jeune réfugié afghan, meurt poignardé sous les yeux de Luc, qui échoue à le ranimer. Pourquoi a-t-il été assassiné ? Qui était-il ? Luc reconstitue le parcours de la victime et découvre, au fil de ses rencontres dans les rues de la capitale, le monde invisible des exilés. À son enquête se mêlent les voix d'un gamin de Kaboul et d'un mystérieux traducteur afghan qui relatent leur stupéfiante odyssée pour rejoindre Paris. Luc en est convaincu : ce n'est qu'en comprenant l'histoire de ces destins brisés par la guerre qu'il approchera la vérité du meurtre. Par ce roman choral tendu et poignant, Denis Lemasson, médecin et écrivain, qui a travaillé en Afghanistan pour Médecins sans Frontières, donne vie, voix et corps à un des enjeux majeurs de notre époque.

 

Mon avis

J'ai commencé ce livre en n'étant pas vraiment sûre de le finir. Il faut bien comprendre que ceci n'est pas du tout le genre de lectures dont je suis fan. C'est vraiment un genre qui me fait peur car j'ai toujours peur qu'on parte dans le pathos.

 

J'ai quand même été interloquée par cette écriture, en effet, si on change la nationalité des réfugiés, on a cette impression de lire quelque chose sur le présent par rapport aux réfugiés syriens. On ressent également dans l'écriture que l'auteur est au courant de son sujet de par son passé.

 

Maintenant, j'ai une autre compréhension de leur passage par l'Europe où les passeurs appellent cela un "game", la façon dont ça se déroule, comment ils trouvent parfois l'argent, tout n'est pas rose, mais ça beaucoup ne le comprennent pas (moi non plus, je ne le comprenais pas). Tout le monde a sa propre histoire mais c'est bien d'en connaitre quelques moments.

 

Bien sûr, après cette lecture, je ne pense pas que je vais continuer ce style tous les jours, je pense que je vais juste en lire un de temps en temps, pour ne pas sombrer dans une sorte de dépression, mais je suis relativement "contente" d'avoir lu ce livre.

 

Note: 7/10

 

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10 août 2016 3 10 /08 /août /2016 16:17

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016 (10/26)

Libretto

400 pages

 

Synopsis

À Copenhague en 1925 Einar Wegener et Greta Waud, son épouse, forment un couple étonnant. Lui, peintre paysagiste reconnu, petit, délicat, est discret jusqu’à l’effacement. Elle, peintre également, est grande, américaine, blonde et issue d’une famille riche. Tous deux s’harmonisent étrangement jusqu’au jour où Greta, en l’absence de son modèle féminin, demande à son mari d’enfiler une paire de bas. De cette demande et du trouble qu’il en advient va naître Lili, qui petit à petit prendra le dessus sur celui qui l’a engendrée comme par inadvertance. Einar se sent femme. Il ne se déguise pas, ne joue pas. Il est celle qui peut tomber amoureuse, et désire donner la vie. Il sera le premier homme, en pleine montée du nazisme, à souhaiter physiquement changer de sexe. Une histoire vraie, celle du premier transsexuel connu, que David Ebershoff retrace ici avec une délicatesse et une force remarquables.

 

Mon avis

J'ai lu ce livre alors que j'avais la tête à autre chose, je pensais que le lire serait distrayant sans réelle prise de tête. Généralement, une biographie est sans prise de tête. Je devrais peut-être mettre ce mot entre guillemets car je veux juste dire que je n'étais pas d'humeur pour certains passages.

 

J'ai trouvé que ce roman avait une certaine longueur d'un côté, mais il était aussi très rapide d'un autre côté. On s'attarde énormément sur des détails qui, pour moi, n'aide pas à avancer. Le début du livre où l'on passe du "présent", puis le passé pour retourner au présent, ça me parait lourd, je ne suis pas une grande fan, je m'y perd facilement.

 

On a aussi l'impression que le monde extérieur n'existe pas, tout se passe dans une époque un peu trouble mais on n'en parle pas vraiment.

 

J'aurais aimé un approfondissement du personnage de Lili mais aussi de Greta, j'ai cette impression que les deux personnages principaux étaient plus effacés.

 

Lili devait être une personne remarquable et aussi très forte pour faire ce qu'elle a fait à une période où tout cela n'était qu'au tout début, le changement de sexe dans ces années-là, ne devait pas être la chose la plus aisée.

 

Note: 7,5/10

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14 juillet 2016 4 14 /07 /juillet /2016 08:35

All Souls Trilogy, book 3: The Book of Life

Le Livre de Poche

954 pages

Synopsis

Diana Bishop et Matthew Clairmont reviennent dans le présent pour affronter d’anciens ennemis et de nouveaux dangers. Dans le domaine ancestral des Clairmont à Sept-Tours, la sorcière et le vampire vont retrouver presque tous les protagonistes du Livre perdu des sortilèges – à une exception près. Une terrible menace pèse sur leur avenir, et elle ne se dissipera que s’ils parviennent à récupérer les pages manquantes de l’Ashmole 782. Mais ils ne sont pas les seuls engagés dans cette quête et le temps presse, car la grossesse de Diana arrive à son terme. Des vieux châteaux en laboratoires universitaires, s’appuyant sur des savoirs séculaires aussi bien que sur les sciences modernes, depuis les collines de l’Auvergne jusqu’aux palais vénitiens, Diana et Matthew, décidés à protéger leur amour défendu coûte que coûte, finiront par découvrir le secret extraordinaire que les sorcières ont percé voilà des siècles et des siècles.

 

Mon avis

Je dois avouer que j'ai eu du mal à me renouer avec la famille Bishop-Clairmont, je ne me rappelais que très peu de la fin du second tome (qui pourtant m'avait plu, tout comme le premier). Après les avoir suivis dans le passé, j'ai eu toutes les difficultés du monde de retourner dans le présent, leur présent.

 

De retour dans la lecture et dans l'histoire, je n'ai pas lâché le roman avant d'avoir fini. J'ai eu un gout amer vers la fin car il n'y aurait plus de suite que tout se terminait là, alors que j'avais encore plein de questions sans réponses à la fin de cette trilogie. Peut-être l'auteure va faire une autre trilogie mais basée sur d'autres personnes présentes dans ce tome? Ca serait bien même si je pense que c'est un peu une illusion.

 

J'ai réellement apprécié le style de l'auteur qui permet de faire revivre une nouvelle mythologie sur les créatures surnaturelles (vampires, démons, sorcières et pour une fois sans loups garous), sans triangle amoureux (ou alors pas vraiment explicite). Des personnages principaux qui sont plus intellectuels que des guerriers (quoique parfois la ligne est très fine pour certains personnages).

 

J'espère retrouver au plus vite cet auteur et qu'elle ne restera pas sur cette trilogie, je vais relire cette trilogie d'ici un an ou deux maintenant que j'ai eu tous les livres, je n'aurais pas à attendre et à oublier certains passages.

 

Note: 9/10

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26 juin 2016 7 26 /06 /juin /2016 16:28

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016 (9/26)

Le Livre de Poche

253 pages

 

Synopsis

Traduit en 18 langues " Un sac de billes ", livre d'une exceptionnelle qualité, est un des plus grands succès de librairie de ces dix dernières années.
Un très beau livre, émouvant et fort... Alphonse Boudard. Ce livre qui est celui de la peur, de l'angoisse, de la souffrance, aurait pu être aussi le livre de la haine, mais il est, en fin de compte, un cri d'espoir et d'amour. Bernard Clavel. Parmi les témoignages sans nombre consacrés aux temps maudits, celui-là est unique, par la nature de l'expérience, l'émotion, la gaieté, la douleur enfantine.
Et conté de telle manière, la douleur saisit, entraîne, porte le lecteur de page en page, jusqu'à la dernière ligne. Joseph Kessel. Une spontanéité, un humour, une tendresse, une émotion discrète qui en font un livre pas comme les autres. La croix.

 

Mon avis

Ce n'est pas facile de donner son avis sur un live qui est autobiographique, on ne peut pas juger à 100% ni le fond ni la forme. Je peux juste dire que j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire car je ne comprenais pas pourquoi il y avait des débuts de phrases mais pas de point alors que tout le roman avait été lu et réécrit par un écrivain (qui l'a fait sous son vrai nom).

J'ai décidé après les 20 premières pages d'arrêter de penser à que le roman avait été réécrit et de penser qu'il avait gardé sa manière d'être, qu'il avait été écrit par un homme qui avait encore une pensée plus ou moins enfantine. Ce sont des pensées du passé qui sont toujours là, qui seront toujours "fraîches", pour moi, tous les témoignages font partie de notre héritage et ils font partie intégrantes de notre vie qu'ils soient bien écrits ou moins bien écrits.

 

Ce que j'ai pu remarqué, est le fait que l'auteur a continué à écrire pour rajouter des passages pour les lecteurs suite à ses différentes conversations qu'il a eu avec ses lecteurs aussi bien quand il va dans les écoles que lors d'une rencontre au hasard ou quand il signe un livre.

 

Ce livre est un autre témoignage, celui d'un enfant qui a réussi à survivre, à se cacher malgré que tout était contre lui.

 

Note: 8/10

 

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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 08:46

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016 (8/26)

Guild Hunter, book 4 : Archangel's Blade

J'ai Lu

444 pages

Synopsis

Un jeune vampire décapité présentant un tatouage sur la joue, voilà normalement une affaire pour la Guilde. Sauf que Dmitri, le second de Raphael, a décidé en son absence de se charger de l'enquête. Et bien entendu, c’est moi, Honor, chasseuse spécialiste des langues anciennes, qui ai été envoyée pour donner un coup de main. 
Qui aurait cru que notre collaboration réveillerait des souvenirs enfouis depuis des siècles ? 
Mais avant de découvrir ce qui nous lie, nous avons une énigme à résoudre, et pas de moindres...

 

Mon avis

Depuis que j'ai commencé cette saga, il y a un personnage que je n'aime pas et c'est bien Dmitri, un vampire arrogant qui ne vit que pour faire mal et avoir des relations sexuelles avec des chasseuses (et autres), alors j'ai mis du temps à lire ce tome, je me demandais comment j'allais apprécier un roman avec un tel personnage mais surtout si ce tome-ci allait être plus intéressant que le dernier que j'avais lu.

 

Dès les premiers chapitres, j'ai roulé des yeux, il y avait des phrases qui me déplaisaient, je l'ai déjà dit, je n'aime pas Dmitri et ce tome-ci essaie de l'humaniser. Est-ce que ça a marché? Non, pas vraiment. Oui, il a été un humain, un jour et il y a plus de 1.000 ans, en gros, il a été vampire plus longtemps qu'humain, d'accord, il ne l'a pas demandé et il revit sans cesse certaines périodes de sa vie mais franchement l'auteure aurait pu être encore moins explicite car arrivée à un moment, la pièce est tombée facilement pour faire le rapprochement.

 

Ce qui fait du bien, c'est qu'il y a très peu d'Elena, on découvre une nouvelle chasseuse Honor, une personne très fragile qui a vécu la pire des crasses pour une chasseuse mais elle est là, elle se veut forte et au fil de la lecture, elle le deviendra. Elle est le jour par rapport à Dmitri, moins sûre d'elle mais devenant plus confiante.

Cela change de voir d'autres personnages arrivés même si c'est peut-être que pour n'être que des One Shoot. J'espère qu'il y aura d'autres personnes que nous allons découvrir aussi bien en chasseurs de la guilde et en vampires (ça serait bien un Chasseur et une vampire ou un ange féminin).

 

Note: 9/10

 

 

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12 juin 2016 7 12 /06 /juin /2016 13:01

Dead in the family

J'ai Lu

413 pages

Synopsis

Encore affectée par la mort de sa cousine fae, Sookie rencontre d'autres problèmes : l'arrivée du créateur d'Eric, un Romain de l'Antiquité , accompagné du tsarévitch Alexis Romanov, sauvé des Bolchéviques, mais vampire...

 

Mon avis

Alors me voilà arrivée au 10e tome de cette saga commencée il y a déjà quelques années après avoir regardé la série télévisée. Je dois dire que j'ai l'impression que la série s'essouffle (en même temps, je suis déjà à 10/13 sans compter les hors séries, ça doit être logique que je ressente un essoufflement).

 

Je trouve que le résumé est un peu mensonger, comprenez bien que j'avais pensé voir arriver le créateur d'Eric un peu plus tôt dans ce tome (dans les premières centaines de pages) mais on le voit arriver d'une manière pas tellement grandiose à partir de la 240e page (plus ou moins). A partir de ce moment, j'ai trouvé que l'intrigue devenait intéressante pas à 100% mais plus intéressante que le début où je n'ai vraiment pas cette impression que Sookie arrive à vraiment grandir malgré tout ce qu'elle vit. Elle est gentille parfois un peu trop, parfois vraiment gamine et vraiment trop portée sur le sexe, je m'explique: à un moment Eric lui explique un peu la hierarchie des vampires des USA mais elle au lieu de s'y intéresser un peu plus que par des mono syllabes, ne s'intéresse qu'à une seule chose: qu'Eric lui fasse des petits plaisirs, ce que je trouve totalement pathétique. Tout comme je n'ai pas compris pourquoi l'auteure a pris Alexis Romanov pour en faire un vampire, je pense que prendre Anastasia aurait mieux fait l'affaire, comme ça on pouvait répondre aux questions sur la fille Romanov qu'on avait vu un peu partout en Europe.

 

Il se peut aussi que ce tome est ce qu'on appelle un tome de transition, mais que peut encore raconter l'auteure sachant qu'elle n'a plus que 3 tomes pour inventer quelque chose en supposant qu'elle puisse répondre à toutes les questions d'une nouvelle intrigue en l'espace de ces 3 derniers et là je suis dans un doute mais je suis comme St Thomas ... Je vais attendre pour voir.

 

Note: 6/10

 

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5 juin 2016 7 05 /06 /juin /2016 13:08

Chicagoland Vampires, book 3: Twice Bitten

Milady

461 pages

 

Synopsis

Une protection très rapprochée…

Mon nouveau job : garde du corps d’un alpha, Gabriel Keene, l’organisateur d’une convention qui rassemble les quatre Meutes du continent, ici, à Chicago. Je suis censée le protéger… et l’espionner pour le compte d’Ethan.
Point positif : pour me préparer, ce dernier m’offre des entraînements plutôt chauds. Une fois sur le terrain, tout se complique. Quelqu’un cherche à tuer Gabriel.
Métamorphe ou non, quand on me confie une mission, je fais tout pour la mener à bien. Et sur ce coup-là, je vais avoir besoin d’aide. Mais la tension monte entre les surnats…

 

Mon avis

Plus j'avance dans cette série et plus je l'apprécie, j'apprécie aussi le fait qu'on ne reste à 100% entre vampires que les autres métamorphes commencent à se montrer. Par rapport au second tome où tout tournait encore autour de Celina, ce 3e tome permet de l'oublier dans un coin de la mémoire et de passer à autre chose, à une autre facette de l'univers vampirique en dévoilant une nouveauté qui pour moi n'a pas eu beaucoup de développement mais qui j'espère en trouvera assez dans les prochains tomes, je parle bien entendu de la Garde Rouge. 

J'ai trouvé leur demande un peu rapide alors qu'on n'arrête pas de nous rabattre de leur immortalité, ils se retrouvent à faire une demande rapide mais j'espère qu'ils vont la renouveler à un autre moment, un peu plus tard.

 

On découvre enfin Lacey Sheridan après en avoir entendu parler dans les autres tomes, mais là aussi, j'ai trouvé qu'on a été un peu vite, on ne la voit pas souvent et la plupart du temps, c'est pour la dénigrer, j'aurai aimé la voir en action après tout, c'est aussi une Maitresse.

 

J'ai surtout l'impression que ce 3e tome essaye de mettre d'autres choses en place et que le reste va suivre soit directement dans le tome 4 et se finir à ce moment-là ou l'auteur va placer une histoire, une mythologie complète. Cela reste à voir.

 

Note: 7,5/10

 

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29 mai 2016 7 29 /05 /mai /2016 19:17

Livre lu dans le cadre de la Masse Critique organisée par Babelio

Incipit

 

Synopsis

Le 6 mars 1980, l'Académie française accueillit en son sein Marguerite Yourcenar. Ce fut un événement, comme l'atteste la présence de l'épouse de Valery Giscard d'Estaing dont même le fils aurait pu venir s'il n avait eu un tournoi de polo. On se précipita. On se bouscula au premier rang. Certains se provoquèrent en duel. D'autres apportèrent des macarons.
C'est que, pendant plus de trois siècles, l'Institut créé par Richelieu n'avait admis aucune femme. Ce n'était pas mauvaise volonté ou bas conservatisme de la part des immortels. C'est juste qu'ils n'y avaient jamais songé. Comment donc aurait-on pu vouloir changer la donne, alors qu'elle n'avait changé ? On avait eu la magnanimité d'intégrer des noms féminins dans le dictionnaire, c'était déjà bien assez.
Et puis les académiciens avaient mieux à faire. Ils avaient à inventer le français et, du même coup, la France.

 

Mon avis

L'ancien régime ne parle pas uniquement que l'accueil de Yourcenar au sein de son institution, mais parle également de la création de l'Académie, je ne savais pas qu'elle avait été créée par Richelieu, je savais par contre que Yourcenar fut la première femme à y entrer.

 

Malgré quelques moments où je trouvais que l'auteur n'était pas vraiment dans le ton, il a réussi à m'apprendre beaucoup de choses sur un court laps de temps (l'ouvrage ne faisant pas plus de 100 pages, mais aurais-je apprécié un livre théorique faisant plus de 500 pages sur le sujet? Bonne question).

 

Cette maison d'édition qui semble nouvelle, permet de (re)découvrir des première fois et j'ai pu voir que certaines premières fois me faisaient de l'oeil, j'irais très certainement les découvrir dès qu'ils sortiront.

 

Note: 8/10

 

 

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