Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 10:08

http://www.livraddict.com/covers/25/25440/couv30360979.jpg

Titre VO : Sarah's Key

Edition : Le livre de poche

415 pages ( avec photo du film + interview de l'auteur et du scénariste )

Synopsis :

Paris 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d'Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s'attache en particulier au destin de Sarah et mène l'enquête jusqu'au bout, au péril de ce qu'elle a de plus cher.

Paris 16 juillet 1942. A l'aube la police française fait irruption dans un appartement du Marais. Paniqué, le petit Michel se cache dans un placard. Pour le protéger, sa grande soeur l'enferme et emporte la clef, en lui promettant de revenir. Mais elle fait partie des quatre mille enfants raflés ce jour-là...

 

Mon avis :

Comment ne pas pleurer en lisant ce livre ? A chaque chapitre, je ne pouvais me retenir dès les premiers mots de pleurer.

Même si ce livre est fictif dans ses personnages, il doit être réel pour des personnes mais il est également réel pour son histoire et il est notamment réel dans le fait que certaines personnes ont décidé d'occulter ce passage de l'histoire, les rafles, l'Holocauste pour certains (oui, ils existent ce genre de personnes).

 

Ce genre d'histoire, j'aime ça non pas dans un plaisir malsain mais plutot dans un soucis de questionnement, de pourquoi et de comment.

 

Dès le début, on comprends où se situe l'action en 1942 et en 2002 d'ailleurs les 2 sont facilement reconnaissables avec l'italique pour 1942 et 2002. En lisant, l'histoire de Sarah en 1942, on est avec elle, on a peur avec elle, on déteste ces policiers et on pleure à la découverte de Michel même si j'ai cru jusqu'à un moment que Michel aurait pu être découvert et que c'était en fait Edouard le beau-père de Julia, oui, j'ai mis un peu d'espoir dans ce livre.

 

Je trouve ça remarquable également que l'auteur a fait tellement de recherches car même si je connaissais l'Histoire, je n'en connaissais en fait qu'un bout, je ne savais pas pour le Vél d'Hiv jusqu'à un moment où on en a parlé dans les actualités de 2012, je m'en rappelle même pas pour 2002.

 

J'ai égalemet eu beaucoup de mal avec les gens qui ont décidé d'oublier leur histoire, car c'est leur histoire, elle est ancrée dans la tête des gens, ce qui s'est passé durant la guerre, les camps, etc. fait ce que nous sommes aujourd'hui et on ne peut l'oublier.

 

Je ne pense pas que je vais regarder le film ou alors je dois être sur d'avoir un film plutot comique ou pour lequel il ne faut pas réfléchir juste après.

 

Note : 10/10 (toutefois si vous lisez le même que livre qui fait 415 pages attention à ne pas être curieux et regarder les images du film vous risquez d'être spoiler )

Partager cet article
15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 17:18

http://www.livraddict.com/covers/2/2513/couv49213252.jpg

Edition : Le livre de Poche

577 pages

Synopsis :

En 1826, dans la France de la restauration, Julien Sorel, jeune homme d'origine modeste et ambitieux, part à l'assau de la haute société...

 

Mon avis :

Je dois dire de prime abords que j'ai abandonné royalement le livre. Pourquoi ? Je n'ai jamais eu de cours en français sur le romantisme en littérature, j'ai seulement eu un exposé par des autres élèves mais rien de plus donc on peut pas dire que ça soit le plus réaliste niveau cours de français.

 

Donc, je n'ai jamais lu non plus de classique d'où il y a quelques temps, j'avais fait un TTT avec mes résolutions 2012 comme quoi je voulais lire un peu plus de classique français mais je crois que je ne suis pas faite pour le classique, j'ai toutes les difficultés du monde a entré dans cet univers mais en particulier dans l'univers de Stendhal ou plutot de ce livre.

Il y a un contexte historique également derrière cela qui fait que je ne comprends pas tout non plus.

 

Ce que je ne supporte pas non plus c'est le protagoniste, je le trouve fort girouette (je dois dire que je suis allée jusqu'à la moitié du roman)

 

Je ne mettrais pas de note pour ce livre vu que je l'ai abandonné, je pense que ça me servira à rien car je sais que d'autres personnes pourraient le lire et l'aimer.

 

Je le lirais peut être un autre jour, une autre année si je reprends des cours en français ou en littérature française pour combler mes lacunes en littérature classique.

Partager cet article
7 août 2012 2 07 /08 /août /2012 15:39

http://www.livraddict.com/covers/6/6835/couv45768739.jpg

Titre VO : Blonde

Edition ; Le livre de Poche

1110 pages

Synopsis :

Il s'agit d'une biographie fictive, retranscrivant la vie intérieure, poétique et spirituelle de Norma Jean Baker, plus connue sous le nom de Marilyn Monroe. On retrouve dans cette oeuvre, comme souvent chez Joyce Carol Oates, une vision de l'Amérique sordide et une conscience de l'injustice de la condition féminine.
L'héroïne du roman ressemble beaucoup à ce qu'on connaît de l'actrice : une enfant mal aimée, sans cesse à la recherche d'un amour démesuré et impossible à obtenir, usant de n'importe quel moyen pour s'approcher d'un bonheur qui n'aurait forcément jamais l'ampleur de ses rêves.

 

Mon avis :

Comme l'indique le synopsis mais également le prologue de l'auteur ce roman n'est qu'une biographie fictive, on a droit à certains pans de sa vie avec ses plus grands rôles connus.

 

Au départ, je me demandais ce que je lisais l'écriture était bizarre mais c'est au fil du livre que j'ai compris pourquoi le début est décousu car tout simplement elle vit avec sa mère Gladys et vu qu'elle est psychologiquement atteinte, ça se ressent dans la façon dont l'auteur écrit car après on passe à des choses un peu plus saine et l'écriture se fait ressentir jusqu'à un point où à la suite des prises des médicaments, etc. la façon d'écrire commence à redevenir un peu la même qu'au début.

 

Sans compter qu'au début de l'histoire, on a droit à la "Mort" qui arrive d'une façon qu'on pourrait dire de comique. Dans les films ou dessins animés on la voit venir avec sa faux, etc. là c'est un livreur de type mexicain.

 

J'ai trouvé par moments des clichés notamment lui faire porter la moitié du temps des robes blanches alors qu'elle a surement du porter autre chose que cela.

 

Quand on lit ce livre, on se prends de pitié pour Norma ou Marilyn comme vous voulez, elle était trop faible pour ce métier et ce métier l'a consummé avec ses médicaments.

 

D'ailleurs, je vous conseille "Certains l'aiment chaud" et "Les désaxés", deux films bien différents mais tellement bien.

 

Note : 7/10

Partager cet article
26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 20:07

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv29289441.jpg

Je remercie les éditions Points et Livraddict pour ce partenariat.

 

Titre VO : The concrete blonde

Edition : Points

463 pages 

Synopsis :

L'inspecteur Harry Bosch en est persuadé : Church, l'homme qu'il a abattu quatre ans plus tôt était bien le Dollmaker, le tueur en série de blondes qu'il maquillait après les avoir assassinées. Le procès intenté par la veuve de Church échoue et l'inspecteur est réhabilité. Tout semble être terminé lorsqu'Harry reçoit une lettre qui semble une parfaite imitation des messages du Dollmaker. Et on retrouve une blonde sous la plaque de béton d'un immeuble de Los Angeles. Le tueur aurait-il fait un disciple ou Harry Bosch a-t-il abattu un innocent ? L'inspecteur doit résoudre cette énigme le plus vite possible et pas seulement pour prouver qu'il a raison !

 

Mon avis :

Ce livre est mon premier Connelly et mon premier « vrai » policier ayant débuté la lecture par Agatha Christie et Hercule Poirot, je me doutais bien que ça n’allait absolument pas ressembler à un de ses ouvrages.

 

Sur la couverture, il est mis que c’est une enquête d’Harry Bosch et ma première impression a été que ça devait être comme les Agatha Christie et qu’on pouvait lire les romans sans aucun ordre précis, chose qui m’a été confirmée par la lecture. Sauf si bien sur le prologue est en réalité une sorte de gros résumé du roman précédent !

 

Bref, dès le prologue, on est dans le bain, on ne tâte pas le terrain, on ne chicane pas mais durant l’histoire, on a des bribes sur la personnalité des protagonistes donc c’est appréciable et mis en avant au bon moment.

 

Dans le roman, on a droit à 2 affaires qui ne sont pas si distingues que ça, il y a le procès de Bosch pour avoir tuer le Dollmaker et une affaire sur le côté avec le Disciple ( un copieur si vous suivez pas) mais aussi bien pour le procès (que je sentais couru d’avance) que pour l’affaire sur le côté, j’ai trouvé le suspense limite insoutenable, je n’ai vraiment pas vu venir le vrai suspect, j’en avais un en tête depuis le début mais j’ai vraiment été à côté de la plaque.

 

On sent au fil de l’intrigue que Connelly est drôlement bien renseigné sur La Vallée (porno), sur LA, Hollywood, on voyage dans un univers glauque.

 

Il y a une chose que je conseillerais si vous avez l’imagination hyper débordante comme la mienne, c’est de ne pas lire ce roman avant de dormir (j’ai souvent rêvé de ce roman).

 

Note : 8,5/10

Partager cet article
19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 12:11

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv12119577.jpg

Edition : Folio

115 pages

Synopsis :

Une veuve spirituelle et jolie, mais sans un sou, trouve refuge chez son beau-frère, un riche banquier. Est-elle sans scrupules, prête à tout pour faire un beau mariage, ou juste une coquette qui veut s'amuser ? Le jeune Reginald risque de payer cher la réponse à cette question...
Grande dame du roman anglais, Jane Austen trace le portrait très spirituel d'une aventurière, dans la lignée des personnages d'Orgueil et préjugé et de Raison et sentiments.

 

Mon avis :

Lady Susan fait partie de ses personnages qu’on déteste du début à la fin, enfin, ça va crescendo pour ma part. Cette personne n’aime que elle, elle n’aime pas sa fille et sa fille ne l’aime pas non plus.

 

Plus elle se dévoile plus on a envie de la secouer, le pire dans l’histoire, elle trouve ça normal et son amie également. Heureusement, tout le monde n’est pas de cet avis et tente d’ouvrir les yeux aux autres qui sont sous son charme.

 

Cette nouvelle n’est pas une de mes préférées même si j’ai adoré détester Lady Susan, ce que je n’ai pas aimé dans le roman, c’est qu’il se compose uniquement de lettres, et je dois vous avouer que généralement ce genre d’écriture me donne mal de tête ! Ce n’est pas non plus une des nouvelles de Jane Austen que je recommanderais à moins d’en être absolument fan et ne pas être difficile.

 

Note : 7/10

 

Partager cet article
18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 08:30

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv2072579.jpg

Titre VOThe Curious Case of Benjamin Button - The Lees of happiness

Edition : Folio

103 pages 

 

Synopsis :

Dès sa naissance, loin d'être un beau poupon joufflu, Benjamin Button ressemble à un vieillard voûté et barbu ! Ses parents découvrent peu à peu qu'il rajeunit chaque jour : de vieillard il devient un homme mûr, un jeune homme, un enfant... Bénédiction ou malédiction ?
Sous la fantaisie et la légèreté perce une ironie désenchantée qui place Fitzgerald au rang des plus grands écrivains américains.

 

Mon avis :

J'ai vu le film avec Brad Pitt et Cate Blanchett avant de lire cette nouvelle, je savais avant de voir le film que c'était inspiré de la nouvelle, je dois dire que c'est vraiment inspiré car en lisant la nouvelle, je n'ai rien retrouvé du film. J'ai donc pu imaginer l'histoire autrement.

 

J'ai été étonnée d'une chose par rapport à ces 2 nouvelles : leur fluidité ! Je n'ai jamais pu me détacher de ces pages avant la fin.

 

J'ai pu enfin me réconcilier avec les nouvelles (je dois dire que j'en suis pas fan des nouvelles, soit ça va trop vite soit pas assez soit je reste sur ma faim).

 

"La lie du bonheur" est une vraie petite perle sur l'amour inconditionnel d'une personne peut importe si il est malade.

 

Note : 9,5/10 

Partager cet article
17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 19:10

http://ecx.images-amazon.com/images/I/616MYGUjV4L._SL500_.jpg

Titre VO : The Burden

Edition : Editions du Masque

232 pages

Synopsis :

A quoi pense Laura en ces jours de fête où l'on baptise Shirley, sa petite soeu ? Quelles noires pensées occupent l'esprit de cette enfant de dix ans, jusqu'alors fille unique ?

Seul, sans doute le vieux Mr. Baldock, son ami, saurait le deviner. Pourtant, très vite, cette petite soeur va devenir pour Laura le centre du monde ; la jeune fille découvre que sa véritable vocation est d'aimer plutôt que d'être aimée.

Mais peut-on intervenir impunément en ces domaines ? Elle aussi connaitra "le poids de l'amour" ...

 

Mon avis :

A priori le nom porte à croire que le roman est du genre romantique, amour à l’eau de rose, détrompez-vous tout de suite ! Mary Westmacott n’écrit jamais de roman d’amour, ils ont tous un attrait psychologique.

 

Ici, on parle d’un amour fraternel mais qui devient un poids aussi bien que pour le donneur que le receveur sans  qu’aucun ne le ressente, seule une personne extérieure à cet environnement comprends très bien dans quoi il a mis les pieds.

 

Le roman est divisé en 4 parties qui ont chacune un point précis. Le premier est Laura qui a 10 ans et après la mort de son grand frère se retrouve reléguée au rang de moins que rien, ses parents ne font pas de grand sentiment avec elle et quand sa petite sœur arrive, elle ne l’aime pas, elle veut sa mort mais arrive un malheur et Laura sauve sa sœur, elle s’en voudra tellement d’avoir souhaité sa mort qu’elle va l’aimer à l’étouffer.

 

La seconde partie c’est la vie de Shirley à l’âge de 19 ans qui découvre les affres de l’amour et par la même occasion, Laura qui découvrira la jalousie, arrive alors un 3ème personnage qui comprendra ce qui se trame.

 

La 3ème partie, j’ai eu un peu de mal, on se retrouve 10 ans après le mariage de Shirley et la polio d’Henri, on se retrouve sur une île avec un nouveau personnage qui, bien sur, aura son importance beaucoup plus qu’Henri, il sera une sorte d’exutoire pour Laura vers la 4ème partie.

 

Durant ses 4 parties, il faut bien être accroché pour bien suivre ce qu’il est écrit car après tout même si le roman est psychologique, on reconnait bien la « patte » Agatha Christie qui veut tenir en haleine son lecteur mais en attendant, je dois vous dire que j’ai préféré « Loin de vous ce printemps » qui me semble le plus abouti de tous les romans ( il y en a que 6 ) qu’elle a pu écrire sous ce pseudonyme. 

 

Note : 9/10 

Partager cet article
16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 08:30

Je tiens à remercier les éditions "Le livre de poche" et Livraddict pour ce partenariat qui m'a fait découvrir un livre fabuleux !

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv39542113.jpg

Edition : Le livre de poche

504 pages

 

Synopsis :

1856. La Compagnie anglaise des Indes orientales décide de s’emparer d’Awadh, un État indépendant et prospère du nord de l’Inde, et d'exiler son souverain. La population se soulève. A sa tête, Hazrat Mahal, la quatrième épouse du roi, épaulée par le rajah Jai Lal et des cipayes, soldats indiens de l'armée britannique, ralliés à sa cause. Lucknow, la capitale du royaume, appelée la « ville d'or et d'argent », est le foyer de cette première guerre nationale. Peu à peu, l'embrasement se généralise. Deux années durant, Hazrat Mahal sera l'âme de cette révolte. Vaste fresque historique sur fond de passion amoureuse entre la bégum et l'intrépide Jai Lal, Dans la ville d'or et d'argent relate le destin d'une femme héroïque et méconnue, qui, la première, traça la voie de la libération des Indes.

 

Mon avis :

J’ai dans un premier temps choisi ce livre pour sa couverture, et ensuite, pour son résumé intriguant. Je ne me rappelle pas avoir appris beaucoup de choses sur l’indépendance des pays après la colonisation notamment sur l’Inde où mon ignorance a été jusqu’à la fin du roman, en fait, j’ai plus appris sur la colonisation qu’autre chose.

 

Le titre en lui-même a quelque chose d’intriguant car il est à la fois superbe mais porte le poids d’une histoire que l’auteur veut nous raconter dans une histoire superbe qui allie «fiction » et histoire (je mets entre parenthèse fiction car malgré tout, tout a été parfaitement étudié à travers différents livres), à chaque moment véridique, un astérisque était mis, à chaque discours on savait que ce n’était pas des bobards.

 

Ce livre fait également partie de ces livres que je ne peux m’arrêter de lire car si je m’arrête, j’ai peur de perdre le fil, on est si vite happé par l’histoire qu’on en oublierait presque de dormir.

 

Ce que j’aime par-dessus tout, c’est les descriptions assez justes (sans avoir trop de détails, chose que je déteste par-dessus tout) pour se faire une idée parfaite.

 

J’ai aimé la façon d’écrire, cela donne vraiment envie de connaitre cette histoire (et d’autres histoires d’indépendance vu d’un point de vue Indien), on sent au fil des pages que l’auteur y a mis tout son cœur et toutes ses tripes, j’ai vraiment envie de lire d’autres ouvrages d’elle.J’ai dans un premier temps choisi ce livre pour sa couverture, et ensuite, pour son résumé intriguant. Je ne me rappelle pas avoir appris beaucoup de choses sur l’indépendance des pays après la colonisation notamment sur l’Inde où mon ignorance a été jusqu’à la fin du roman, en fait, j’ai plus appris sur la colonisation qu’autre chose.

 

Note : 10/10 ( vrai coup de coeur )

Partager cet article
15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 03:00

Un des 2 livres lus pour le challenge "Un mot, des titres" de Calypso

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv38701979.png

Edition : Milady ( Pemberley )

480 pages

Synopsis :

Vingt années après Orgueil et Préjugés, nous faisons la connaissance des cinq filles d’Elizabeth et Darcy. Alors que leurs parents sont en voyage à Constantinople, les demoiselles viennent passer quelques mois à Londres chez leur oncle Fitzwilliam. La découverte de la vie citadine, des plaisirs et des disgrâces qu’elle offre, associée au caractère fort différent de ces jeunes personnes, va mener à des aventures – et des amours – inattendues, dans un cadre particulièrement mondain, où de nombreux individus se côtoient. On retrouve avec plaisir certains personnages créés par Jane Austen.

 

Mon avis :

Je trouve que l'image de couverture me fait penser aux vieux livres à l'eau de rose mais bon, c'est une nouvelle collection et par rapport à la couverture des livres bit-lit, ça les vaut pas.

On ose appeler ça une suite ? Je considère ce livre comme un duplicata, on change les noms et on recommence l'histoire 20 ans plus tard.

 

Et le titre ? Sérieux ? Et elle est où Elizabeth dans tout ça ?

 

Sans compter le nombre de filles ... 5 ... Y a de quoi rire, bon, il y a quand même dans le lot 2 garçons beaucoup plus jeunes mais j'aurais aimé faire leur connaissance pour éviter d'avoir à revivre la même chose.

 

Letty est une vraie tête à claque, à force que le roman avance, elle devient une vraie vieille fille.

Par contre, j'ai adoré le prénom Alethea.

 

Je suis triste pour une suite, on a juste eu de temps en temps une lettre de Darcy, j'aurais aimé les voir à Londres.

 

Note : 5/10 (j'ai pas envie de mettre une note en dessous de la moyenne  )

Partager cet article
12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 12:20

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv65887186.jpg

Edition : Le livre de Poche

537 pages

 

Synopsis :

Elle vous a fait rire, rêver, fantasmer avec Sex and the City, chronique sans complexe et désormais culte du New York branché et de ses jet-setteuses débridées. Candace Bushnell revient avec trois nouvelles héroïnes : Nico, Wendy et Victory. Des battantes au top de leur carrière en perte de vitesse en matière de vie privée... Nico trompe son mari avec un mannequin qui pourrait être son fils, Victory oublie l'échec de sa dernière collection de vêtements dans les bras du premier milliardaire venu, et le mariage de Wendy avec un homme ay foyer est en chute libre... Comment gérer le sexe, le business et l'amour lorsqu'on est une femme dans la jungle new-yorkaise ? Toujours chic, drôle et glamour, le nouveau must de Candace Bushnell.

 

Mon avis :

Je ne lis pas beaucoup de chick-lit, j’ai beau être une fille, j’ai du mal avec la chick-lit.

 

Est-ce du fait que les 3 personnages sont des femmes déjà bien actives dans leur vie professionnelle et personnelle ? Ou le fait qu’elles soient « âgées » ( ce n’est pas en mal mais on va dire que ça aurait été plus simple si les personnages avaient mon âge).

 

Ce que je n’aime pas dans ce livre, c’est les digressions, enfin, il n’y a pas que dans ce livre, je n’aime pas trop les digressions surtout quand on n’arrive pas à les trouver assez facilement, parfois, je me demandais si elles étaient entrain de penser ou rêvasser ou alors si j’avais loupé un passage (le plus souvent, je pensais cela).

 

Je ne dirais pas plus sur ce livre, il m’a laissé sur ma faim, à aucun moment, j’avais envie de me dire « j’aime bien en fait », je me posais souvent la question « est ce qu’il est bien ? », je dois dire que ma réponse est non tout simplement.

 

Note : 4/10

Partager cet article

Présentation

  • : Le Grenier de Sayyadina
  • : Vous trouverez ici tout ce que j'aime dans la vie : les livres, le cinéma, les séries à gogo (quand j'achète le dvd), parfois des concerts et des pièces de théatre.
  • Contact

Lecture en cours

 

http://img.livraddict.com/covers/112/112276/couv71179442.png