Challenge créé par Arcaalea
Ce mois-ci le Chapelier a choisi pour moi
J'ai reçu ce livre lors d'un swap et j'espère réussir à le lire ce mois-ci mais vu comme je rame sur ma lecture actuelle ça sera assez facile.
Edition : Points
153 pages
Je remercie les éditions Points et Livraddict pour ce partenariat
Synopsis:
Du monde, la jeune et jolie Kounnioupattoumma ne sait rien, si ce n’est que son grand-père avait un éléphant ! Fille de notables musulmans, elle est en âge d’être mariée. Mais pour sa mère, les prétendants ne sont jamais assez beaux, jeunes, riches, puissants... Surtout quand on songe à la splendeur passée du grand-père à l’éléphant.
Hélas, voilà la famille ruinée. Adieu vaste demeure, domestiques, bijoux en or ! Kounnioupattoumma peut
enfin goûter aux délices de la baignade en attendant des jours meilleurs...
Avec un profond amour des êtres, qu’il ne désespère pas d’éduquer et de distraire, Basheer mêle à la
perfection vérité et humour. Grand-père avait un éléphant est traduit pour la première fois en français.
Mon avis :
Ce qui m’a attiré dans ce roman fut d’abord la couverture, elle est relativement voyante mais quand on l’a dans les mains, c’est vraiment flashant (oui, je sais que je n’ai surement pas la même notion de flashant que beaucoup d’entre vous mais j’ai des yeux sensibles), la seconde chose qui m’a attirée, c’était le titre qui me faisait rêver « Grand-père avait un éléphant », je me demande encore comment c’est possible mais en Inde (lieu de l’action), je crois que c’est tout à fait envisageable. Bien sur, la troisième chose c’est le lieu, la nationalité de l’auteur.
Je n’ai jamais lu d’auteur d’indien et ce partenariat a pu me mettre en relation avec un auteur que je ne connaissais pas.
Le livre fait plus de 150 pages mais on a l’impression qu’il y a plus car on en apprend tellement sur la religion musulmane. Dans ce livre, on a droit à 2 visions de la religion : celle de la famille Kounnioupattouma ( désolée mais je ne pense pas l’écrire plusieurs fois dans l’article, j’ai tellement de mal à le retenir) qui est une vision plus ancienne de l’islam plus ancrée dans les traditions et puis on a la vision de la famille d’Aisha qui l’a modernisée en fonction de l’évolution des mentalités du monde dans lequel on vit.
Enfin, dans le monde dans lequel on vit, je dis cela mais je ne sais pas trop l’époque où se passe le roman, il est stipulé qu’il y a de l’électricité et la radio mais on n’en sait pas plus.
Pattouma a eu droit à deux visions de la vie, celle dans laquelle elle fut une enfant choyée, et puis, adulte, une vie un peu moins belle suite à de mauvaise chose arrivée mais je crois que si elle n’avait pas eu cela, elle n’aurait pas un peu grandi et surtout n’aurait jamais rencontré son futur mari.
Ce roman est une vraie petite fable sur le monde qu’on ne connait pas vraiment, il est assez sympathique comme livre mais je pense qu’il est à lire quand on a pas trop de soucis en tête.
Note : 6/10
Synopsis :
Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le
Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef
n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des
Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres
désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste
Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs
cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…
Mon avis :
Mon dieu que c'est long, trop long, j'avais l'impression de me retrouver à l'époque du Retour du Roi où avec une amie on arrêtait de se demander si l'image qu'on voyait, serait la fin et à chaque fois, non ce n'était pas la fin.
Je me rappelle qu'il y a 10 ans quand j'ai vu La Communauté pour la première fois, je n'avais pas aimé mais il a fallu le revoir 2/3 fois pour apprécier mais bon j'ai plusieurs trucs qui m'ont dérangé dans ce film :
- Les pieds de Hobbit, je les ai trouvé mal fait mais vu qu'il y a souvent des rediffusions de la première trilogie
- Les nains, ils ressemblent pas trop à Gimli sauf quelques uns mais Thorin est quand même plutôt pas mal pour un nain.
Mais bon, il y a eu des bons moments quand même ! Retrouvez ce cher Bilbo et Frodo même si on voit qu'ils ont bien vieilli l'un comme l'autre (je sais Elijah avait 19 ans lors de la première trilogie, il en a environ 30 maintenant )
Je n'ai pas grand chose à dire sur le film, j'ai eu juste l'impression d'avoir un loooong prologue mais je ne m'avoue pas vaincue, je veux voir la suite.
Livre lu dans le cadre du Book Club de Livraddict
Titre VO : Letters from Father Christmas
Edition : Pocket
111 pages
Synopsis :
Plus connu pour ses travaux universitaires et pour
l'invention de la Terre du Milieu, J.R.R. Tolkien est aussi un formidable auteur de contes pour enfants. Comme Bilbo le Hobbit et Roverandom, les Lettres du Père Noël ont d'abord été destinées à
ses trois fils et à sa fille, auxquels, chaque année, entre 1920 et 1943, Tolkien a écrit une lettre (parfois deux) prétendument envoyée du Pôle Nord par le Père Noël ou l'Ours
Polaire.
Ces trente lettres (dont quinze traduites pour la première
fois, dans cette édition revue et augmentée) forment un récit très prenant des aventures du Père Noël et de l'Ours du Pôle Nord, et de leurs démêlés avec les gobelins, qui plaira aux enfants, à
leurs parents, et surprendra plus d'un amoureux de Tolkien
Mon avis :
Tout d'abord, j'ai été étonnée qu'en anglais, on a eu droit à Father Christmas alors qu'aux Etats Unis, c'est du Santa Claus à tout va. Le prénom du Père Noël est Nicolas comme son cousin, St Nicolas, ça ne m'a pas étonnée du tout car dans mes souvenirs d'enfance, on me disait que St Nicolas (qu'on fête en Belgique) était le cousin du Père Noël donc c'était surtout un retour aux sources de mon enfance.
Ce que j'ai également aimé, c'est les dessins et les lettres en VO à côté des traductions pour voir l'écriture tremblotante du vieux bonhomme en rouge ainsi que l'écriture des différents protagonistes ... non, des aidants : l'Ours Polaire et l'elfe Ilbereth (qui me fait penser étrangement à Elbereth l'Etre Supérieur du Seigneur des Anneaux à qui on adresse une prière).
Tolkien était un véritable maitre de l'écriture et de l'imagination, il avait déjà écrit Bilbo comme un conte pour enfants (pour ses enfants, peut être ?) d'ailleurs, il en fait référence dans une autre de ses lettres, non, je me trompe encore que le Père Noël faisait référence dans les lettres adressées aux enfants Tolkien.
Bien entendu, dès que les enfants perdaient la magie du vieil homme, il les retirait de ses lettres pour à la fin n'avoir que la petite dernière Priscilla. Bien que je tiens à préciser qu'aux débuts du livre, il ne s'adresse qu'à 2 garçons : Michael et Christopher mais Tolkien a eu 4 enfants : John, Michael, Christopher et Priscilla dès le début, John est bien trop grand pour ces lettres ( ou alors, elles n'ont pas été retrouvées).
Ces lettres sont des moments de magies familiales partagées à travers le monde pour que les grands enfants gardent un peu de magie en eux.
Je conseille ce petit livre pour tous les amoureux de Tolkien mais aussi pour découvrir un père aimant ses enfants et pour avoir un peu de magie de Noël dans ce monde.
Note : 10/10
Titre VO : Il cielo rubato
Edition : Le Livre de Poche
105 pages
Synopsis :
Pierre-Auguste Renoir a-t-il bien séjourné en 1882 dans la ville sicilienne de Girgenti (aujourd’hui Agrigente), comme l’affirme son fils Jean dans la biographie qu’il lui a consacrée ? Si oui, pourquoi n’existe-t-il aucune trace de ce voyage dans les toiles du maître de l’impressionisme ? À travers l’échange épistolaire qu’entretient le vieux notaire Michele Riotta avec la belle et mystérieuse Alma Corradi, Andrea Camilleri propose un scénario adroit et mordant, où la passion brouille les cartes jusqu'à l'ultime rebondissement.
Mon avis :
J'ai été attirée par ce livre par sa couverture et son sous titre "Dossier Renoir", je suis très admirative du travail des peintres impressionnistes et ce roman m'intriguait au plus haut point, le voyage de Renoir en Sicile, en me disant que ces peintures devait être plutôt belle pour l'époque.
J'ai donc lu ce petit roman, qui est relativement fluide, en apprenant 2 choses : Jean Renoir le réalisateur était le fils du peintre ( oui parfois je vis dans un autre monde ) mais que ce roman a été créé à l'aide de supposition sur un possible séjour dans cette ville du à la biographie de fils de Renoir et que l'auteur du roman a fait des recherches sans jamais trouvé le moindre indice et il a relaté cela sous forme de lettres à une femme.
Je me suis souvent demandé pourquoi dans le roman, on ne voyait jamais les lettres d'Alma mais mes questions ont trouvé leurs réponses dans le livre, j'ai pas eu besoin de trouver des raisons valables et c'est ce que j'apprécie dans ce roman.
J'ai trouvé la partie avec les lettres quelques peu longuettes mais arrivé à la seconde partie, j'ai tout lu d'une traite tellement j'avais envie de savoir ce qui se passait.
Plusieurs personnes se partagent le livre, il y a bien sur Michele mais aussi le neveu Giorgio et l'inspecteur ( un peu le procureur).
Ce petit livre m'a donné envie de plusieurs choses : aller visiter cette ville, lire la biographie de Renoir et aller voir ses tableaux.
Note : 7/10
Edition : Pika Edition
400 pages
Livre lu dans le cadre du challenge du Chapelier Fou
Synopsis :
Alors qu'elle feuillette un livre mystérieux, Sakura, jeune élève de CM1, disperse aux quatre vents des dizaines de cartes magiques, qu'elle va devoir essayer de récupérer au plus vite. Accompagnée de Kélo, un petit animal étrange, et de son amie Tomoyo, la jeune fille devra apprendre à maîtriser au mieux ses pouvoirs magiques. C'est que les esprits des cartes, enfin libres, sont peu enclins à se laisser capturer...
Mon avis :
Comme beaucoup de personnes, j'ai commencé Sakura à l'adolescence en rentrant de cours et en la regardant en anime, j'adorais cette petite fille et ses costumes qui me faisait toujours rêver, ce que je n'aimais pas, c'est les prénoms francisés pour tout le monde sauf pour Sakura ( kikoo Tiffany, Lionel, etc. )
J'ai donc commencé le manga comme dans l'état d'âme d'adolescente que j'étais ... avec envie! Rien que les 2 couvertures avec les costumes me faisaient rêver mais je ne prenais pas le temps de vouloir lire les mangas de peur de dénaturer ma vision de l'anime.
Je dois dire que j'ai adoré même si parfois il y a de petits bémols notamment le fait que la traductrice ( ou l'équipe de traduction) donne à Kelo l'accent marseillais même sans accent, il m'aurait plus, bon, je sais qu'en VO il a l'accent du sud du Japon mais de là à lui donner l'accent de marseillais alors que l'action se déroule au Japon, DA FUCK ?!
J'ai également remarqué une chose que l'anime a sans doute omis par peur que les petits ne comprennent pas mais Toya et Yukito sont gay, enfin, j'ai pu comprendre comme cela leurs petits gestes mais après tout je ne suis pas sur à 100%, je peux aussi mal l'interpréter !
Je conduirais bien entendu Sakura et d'autres manga de l'équipe CLAMP, leurs dessins sont magnifiques et comme je l'ai déjà dit et je me répète, je rêve de faire un cosplay Sakura !
Note : 10/10
Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans
lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini.
Ce rendez-vous a initialement été créé
par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Iani
Le thème de ce mois est aussi pour moi une lettre au Père Noël :
Les 10 livres que j'aimerais recevoir pour Noël
Cher Père Noël, j'ai ouvert ma wish list et j'ai pioché dans les livres que je rêve d'avoir plus que d'autres ce qui est bien difficile vu que j'aimerais bien les 133 ( et plus de ma wish list)
1. 
Il est enfin sorti en livre de poche et depuis que j'ai vu le film, je veux (oui oui !) lire ce livre.
2. 
Et sa suite ...
3. 
4. 
Il me tente de plus en plus par sa couverture, son résumé mais il fait également partie de mes livres à lire en challenge ABC 2013
5. 
6.
Miyazaki l'a animé sous le nom du Chateau Ambulant qui est mon anime préféré du réalisateur.
7.
Un des derniers romans écrit par l'auteur, si je me rappelle le 4ème a été débuté par Marion Zimmer Bradley et le reste par un autre auteur.
8. 
Je crois qu'il n'est plus édité mais on sait jamais, je ne connais pas trop les petites librairies de "secondes mains"
9. 
2 mots : Barney Stinson
10.
La dystopie d'Hunger Games m'avait bien plu.
Et voilà, j'ai fait un choix au hasard ou pas :)
Et vous quel est votre liste ?
Challenge créé par Arcaalea sur Livraddict
Ce mois-ci, le Chapelier a choisi pour moi :
C'est donc Card Captor Sakura, double tome 1 & 2 ( le 3&4 sera lu avec le challenge ABC 2013 )
J'ai déjà vu l'anime et j'avais adoré et en plus, je rêve de faire un cosplay Sakura ! Le chapelier choisit vraiment bien car j'ai vraiment besoin d'un petit truc un peu magique :p
Titre VO : 1Q84, book 1
Edition : 10/18
550 pages
Synopsis :
Au Japon, en 1984.
C'est l'histoire de deux mondes, celui réel de 1984 et un
monde parallèle tout aussi vivant, celui de 1Q84. Deux mondes imbriqués dans lesquels évoluent, en alternance, Aomamé et Tengo, 29 ans tous deux, qui ont fréquenté la même école lorsqu'ils
avaient dix ans. A l'époque, les autres enfants se moquaient d'Aomamé à cause de son prénom, « Haricot de soja », et de l'appartenance de ses parents à la nouvelle religion des Témoins. Un jour,
Tengo l'a défendue et Aomamé lui a serré la main. Un pacte secret conclu entre deux enfants, le signe d'un amour pur dont ils auront toujours la nostalgie.
En 1984, chacun mène sa vie, ses amours, ses
activités.
Tueuse professionnelle, Aomamé se croit investie d'une
mission : exécuter les hommes qui ont fait violence aux femmes. Aomamé a aussi une particularité : la faculté innée de retenir quantité de faits, d'événements, de dates en rapport avec
l'Histoire.
Tengo est un génie des maths, apprenti-écrivain et nègre
pour un éditeur qui lui demande de réécrire l'autobiographie d'une jeune fille qui a échappé à la secte des Précurseurs. Il est aussi régulièrement pris de malaises lors desquels il revoit une
scène dont il a été témoin à l'âge d'un an et demi.
Les deux jeunes gens sont destinés à se retrouver mais où
? Quand ? En 1984 ? Dans 1Q84 ? Dans cette vie ? Dans la mort ?
Mon avis :
Murakami a l'air de mélanger plusieurs genres mais également de mêler la musique à ces livres, du moins, je l'ai remarqué pour les 2 livres que j'ai lu de lui ( si ça tombe pour les autres, non).
Dans ce roman, il mêle à l'histoire de la musique classique avec la Sinfonietta de Janacek que j'ai été écoutée et je dois dire que c'est prenant comme musique comme l'est le livre.
On entre dans l'histoire de 2 personnes que tout oppose dans la vie mais qui se sont déjà rencontrés dans le passé, on s'en doute car il raconte à un moment la même histoire sans dire le nom de l'autre.
Une chose les rapproche pourtant mais on l'apprends vers la fin du premier livre : les Little People ... Alors qui sont ses êtres ? Je ne sais pas mais ce qu'ils font est horrible, notamment au chien, je suis sur que c'est eux qui l'ont tués et vu ce qu'ils ont fait, je les aime pas !
Je suis intriguée par l'histoire de Fukaéri et de sa famille et j'ai hâte d'en connaitre un peu plus sur les Précurseurs dans les prochains livres.
J'ai également hâte de connaitre le reste de l'histoire surtout avec cette distorsion du monde, les 2 lunes et si les 2 vont un jour se rencontrer même si j'ai des doutes, j'ai parfois l'impression qu'Aomamé est dans 1Q84 la vie que raconte Tengo et plus il raconte plus le monde d'Aomamé change.
En tout cas, je vais lire la suite, c'est sur !
Note : 8/10
Lecture Commune avec Moutmoutyoda
Livre lu dans le cadre de 2 challenges : Un mot, des titres et La face cachée des Disney ( uniquement pour Blanche Neige )
Edition : Pocket
96 pages
Synopsis :
Ayant échappée à sa cruelle belle-mère, la princesse Blanche-Neige partage la vie des 7 nains jusqu'au jour où quelqu'un frappe à la porte.
Mon avis :
Au vu des autres contes dans ce roman, je vais dire mon avis pour chacun soit avec un mot soit plus :)
- Blanche-Neige :
On se retrouve dans un univers différent du dessin animé ( mais j'ai une tendance à voir la méchante reine comme celle d'Once Upon a Time ), j'ai rien trouvé de romantique dans cette version.
Il y a bien sur un chasseur qui ne veut pas tuer Blanche-Neige en lui retirant le foie et d'autres organes mais il tue une chèvre et la reine MANGE le tout en pensant que c'est Blanche-Neige ( et bon appétit, bien sur ! )
Il y a les sept nains mais la façon dont elle entre dans leur demeure et teste tout me fait penser à Boucle d'or et les trois ours.
Par 3 fois, la reine tente de la tuer et par 3 fois ça rate. Bien sur la 3ème fois est la pomme mais point de baiser romantique pour la réveiller, un porteur fait tomber le cercueil et pouf le morceau de pomme est plus dans sa gorge ( romantisme où es tu ? )
La reine finit comment ? Eh ben, pas en tombant d'une falaise, nan nan. C'est plus cruel.
- Hansel et Gretel :
Comme dans mes souvenirs sauf l'histoire des pierres et du pain, ça m'a trop fait penser au Petit Poucet.
- Le petit chaperon rouge :
Comme dans mes souvenirs, ma maman me racontait l'histoire quand j'étais petite mais avec un petit plus à la fin.
- Tom Pouce :
Un peu glauque comme histoire mais je connaissais l'histoire avec Poucelina.
- Peau d'âne :
L'histoire m'a donné envie de revoir le film avec Catherine Deneuve, c'est une belle histoire même si le début est glauque ( le père qui veut épouser sa fille, euuuh ... )
- Les musiciens de la ville de Brême :
Très enfantin, raconte la vieillesse.
- Le lièvre et le hérisson :
Un peu à la manière du lièvre et la tortue de La Fontaine.
- Le petit pou et la petite puce :
Très triste, pas mon préféré
- La princesse sur les pois :
Très connu et très mignon
- Les trois frères :
Histoire sur une rivalité qui n'a pas lieu d'être et une belle amitié d'une faternité.
- La mort la plus douce pour les criminels :
Le titre veut tout dire et c'est connu
- Les deux compagnons en tournée :
Le conte le plus cruel que j'ai lu, il finit bien mais il permet de dire "ne pas faire confiance à tout le monde même si on croit en son amitié"
Note : 7/10
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